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Pourquoi Jack Jack est un collectif et pas une agence de communication ?

C’est vrai ça, avec une directrice de clientèle, un creative stratégist, un concepteur-rédacteur, une directrice artistique et un développeur, on a une petite agence. Alors pourquoi un collectif ?

1. Penser en réseau

La communication innove à un rythme effréné, avant-hier le métaverse, hier ChatGPT, aujourd’hui Threads et demain une nouvelle techno, une nouvelle tendance, un nouveau virage à prendre.

Au début d’une campagne ou d’une OP, il y a toujours l’idée et ça ne changera jamais. Mais être expert de toutes les innovations et regrouper toutes les spécialités au sein d’une même structure n’a plus de sens (si tant est que ça soit simplement possible).

Alors on pense connecté, à un réseau de talents et d’experts complémentaires avec qui on peut tout imaginer pour vos projets.

C’est une question d’agilité, mais aussi d’ouverture et de multiplicité des sensibilités à apporter à un sujet spécifique.

Ce réseau de confiance “open source”, nous le créons depuis 10 ans et il continue de grandir.

2. Collaborer en circuit court

En tant qu’indépendants, que nous soyons stratège, créatif ou dev, nous avons l’habitude d’échanger directement avec vous (responsables com), tout autant que le directeur de clientèle. Sans intermédiaire(s).

Et on y tient, car cela crée une relation de proximité qui nous permet de mieux connaître votre marque, vos besoins et votre contexte. Tout en améliorant la communication au quotidien et en renforçant une confiance réciproque.

3. Parce que nous sommes des artisans

Prendre le temps de vous connaître et d’échanger, réfléchir ensemble, être disponibles et miser sur la qualité plutôt que la quantité, c’est comme ça que nous exerçons notre métier. C’est dans l’ADN des freelances, associé à un état d’esprit naturellement engagé et un mode auto-motivation.

4. Pour ne pas finir sur BTA (Balance ton agency) ?

Après 10 années en moyenne en tant qu’indépendants pour les différents membres de l’équipe, revenir à un système pyramidal ne faisait pas sens.

S’organiser, répartir les tâches, adopter des process de décisions, oui. Mais pas de chef pour cheffer. C’est une aventure en soi, qu’on vous racontera peut-être.

Et on est heureux comme ça, tout simplement.

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